El abismo

Un comentario

Caigamos en le abismo, si es el caso, para calmar las inquietudes ajenas.

Singular: 1 comentario en “El abismo”

  1. Quel animal est-ce ce ressenti qui vous traverse le corps ? Ce qui est sûr c’est qu’au total ça avale tout en privant d’air. On dort debout, jusqu’à faire des choses sans rapport avec une capacité physique, comme accroché à garder du rêve dans ce qui caractérisait son genre de départ. Le lâcher-prise n’est qu’une impression de passage. Je crois qu’à sa manière on bande jusqu’au bout.
    Je t’embrasse Ana, moi le peintre de la vraie résurrection sans descente de croix.

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